Cartes postales

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LANDERIBA
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:hello:

Je préférais cette façade du restaurant bien plus typique, à la nouvelle, !!! :super:

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djef24
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C'est vrai que la façade était plus typique , beaucoup plus zoliiiiiiiiiiiiiiiiie :/
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Philou 33
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Une Chevrolet 46/48 d' annoncée à gauche , l' autre ??
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LANDERIBA
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:hello:

Je pense, sans certitude, (on ne voit pas l'avant) à une Chenard et Walker des années 30 de type T11 avec un siège de coffre, également appelé siège de belle-mère, qui est un siège extérieur rembourré qui peut se replier.
Ce genre :
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Philou 33
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Oui ! C§W

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Philou 33
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Calais
Théâtre municipal

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Aujourd'hui

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djef24
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Les infos insolites sur Calais

Voici une petite compilation d’anecdotes 100% locales

Lorsque vous êtes face au théâtre, vous pourrez remarquer qu’en dessous des quatre statues se trouvent quatre proues de bateaux. L’occasion pour l’architecte de nous rappeler que nous nous trouvons sur des terres marines.

Autour du bassin du paradis vous trouverez 25 canons. Ces canons sont retournés et enfoncés de moitié dans le sol. Ils ont été récupéré à l’ennemi durant la guerre. Ils servent pour certains de bittes d’amarrage pour d’autres d’ornements.

Sur l’ancienne façade des abattoirs de Calais, il est inscrit en grosse lettre « OCTROI ». Le lieu abritait autrefois un bureau d’octroi. L’octroi étant la taxe sur les marchandises entrantes en ville dont devaient s’acquitter les paysans.

Pierre et Jacques de Wissant, les deux frères présents sur la sculpture « Les bourgeois de Calais » partagent tous deux la même main droite et la même main gauche. Celles-ci ont été fondu dans le même moule. D’ailleurs, le moule de leurs mains droite a également été utilisé pour une autre oeuvre d’Auguste Rodin « La Main de Dieu ».

Calais possède son propre drapeau. Elle fait partie des cinq villes françaises ayant eu ce droit sur ordonnance royale. Le célèbre corsaire Tom Souville l’érigeait sur son navire. Selon Opale.calais, à la base sa croix était rouge mais celle-ci rappelant la croix rouge de nos ennemis anglais, elle fut modifiée en croix blanche.

Selon la statue, le général De Gaulle porte son alliance une fois à gauche, l’autre fois à droite.
Ayant reçu une balle à la main gauche durant la grande guerre, le général souffrait de douleurs lancinantes dans les doigts. De ce fait, il alternait son port d’alliance pour finir par la laisser uniquement à la main droite.

pied de Louis XVIII
L’empreinte royale
Au bord du bassin du paradis, vous avez sûrement déjà aperçu sans y prêter vraiment attention, la colonne Louis XVIII (grande tour surmontée d’une boule). Elle fut construite en 1815, à l’endroit même où le roi posa le pied sur le sol français. Une plaque de bronze, moulée de l’empreinte du monarque s’y trouve scellée.
Moderne avant l’heure, elle fut érigée grâce à un financement participatif de 564 calaisiens qui récoltèrent 6557 francs.

Statue rendant hommage au corsaire Tom Souville
Sous un certain angle, le plus célèbre des corsaire calaisien, semble exhiber fièrement son membre. Rassurez-vous cela n’est autre que la crosse de son arme feu. Ouf.

Le boulevard de l’égalité, chemin vers les cieux
Jusqu’en 1897, le Boulevard s’appelait le Boulevard de Lesseps. En l’honneur du vicomte Ferdinand de Lesseps. Ce dernier ayant trempé dans des affaires de corruption, le maire de l’époque Émile Salembier a rebaptisé le boulevard Lesseps en Boulevard de l’égalité car il dirige vers le cimetière « où la parfaite égalité réduit riches et pauvres à la même situation ».

Une erreur fatale au cœur de la ville
En 1945, suite à une confusion entre la ville de Calais et celle de Dunkerque, nos alliés anglais ont accidentellement lâché leurs bombes (48 au total!) sur la zone du quartier saint-pierre. Le bilan est lourd. 97 victimes dont 16 enfants. Sur la façade du 95 rue des Fleurs vous retrouverez une petite plaque commémorative.

La légende d’Amélie la courguinoise
La légende raconte qu’Amélie ne parvenait pas à se remettre de la disparition de son quartier qu’elle chérissait tant. Un soir, vêtu de sa tenue de courguinoise, elle se rendît au bal organisé secteur saint-pierre. Elle y fut élue reine de la soirée. Dans une ambiance festive, les participants décidèrent d’amener la jeune matelote dans son quartier et la hissèrent dans la niche du plus haut immeuble du Courgain. Amélie, tellement heureuse, s’y recueillit seule un moment. Une étoile filante passa, Amélie fut retrouver figée et liée à tout jamais à son quartier adoré.

Disney, rue du 29 Juillet
Dans les années 1900, Mr et Mme Disney ont habité à Calais. Il ne s’agit pas du célèbre Walt mais de son oncle et de sa tante. Leur demeure se trouvait 36 rue du 29 Juillet. La maison de maître, toujours visible, a été conservé presque à l’identique au fil des années.
Lionel Disney travaillait en tant qu’employé à la maison Heymann & Alexander (commissionnaire allemand en dentelle).
Le pont du Leu, mais c’est qui ou quoi Leu ?

quartier du pont du leu calais
La légende raconte qu’un loup (Leu en patois) serait venu rendre son dernier souffle près du pont, d’où « le pont du Leu ». Hors, l’historien Charles Landrin balaye ce mythe de quartier en précisant qu’autrefois seuls 3 fermiers vivaient dans les parages et la ferme la plus proche du pont, était celle du fermier Leleu. Le pont, par déformation, est devenu « le pont du Leu ».

Arroquer le ballon
« J’ai arroqué le ballon dans la cour des voisins » qui n’a pas déjà entendu cette expression bien de chez nous ! Et bien saviez-vous que l’étymologie du verbe « Arroquer » provient de l’anglais « arrow » qui signifie flèche. En effet, lorsqu’on « arroque » son ballon, on peut très bien s’imaginer la trajectoire courber d’une flèche qui redescend.

Pales d’éolienne du Channel
Elles trônent fièrement dans la cour du Channel, mais s’agit-il de pales d’éolienne ou d’ailes d’avion ? les avis divergent, Francis Peduzzi, directeur du Channel nous répond :
Invités par la Communauté urbaine à visiter le patrimoine maritime de Dunkerque, Patrick Bouchain et moi-même, nous avons remarqué des pales d’éoliennes* qui jonchaient le sol. Patrick Bouchain, architecte de la restructuration des anciens abattoirs, a donc demandé à la Communauté urbaine si nous pouvions en disposer. Destinées au rebut, la Communauté urbaine nous les a cédé gracieusement et Patrick Bouchain en a fait cet usage. Un signe comme une œuvre d’art. «

*Suite à une tempête une des neuf éolienne de la digue du Braeck a été abattue par le vent en 2004. Elles remplaceront les deux cheminées initialement prévues devant la grande Halle (voir photo ci-dessus).
Des portes mystérieuses dans le bassin du Paradis…
Une des « portes murées » du bassin du paradis

À marée basse, on peut apercevoir dans le bassin du Paradis deux trous en forme de portes complètement murés. Il s’agit en fait d’anciens « chemins d’eau » qui ont été comblés.

Autrefois, une rivière (appelée la rivière de Guînes) traversait Calais-nord et longeait l’église Notre-Dame, celle-ci se déversait dans le bassin du Paradis. Elle fut comblée en 1702.

La rue des Soupirants
Pendant deux siècles cette rue se nommait « la rue des amoureux » en raison des nombreux amants qui l’empruntaient en revenant des bals organisés une rue plus loin, à la guinguette du Vauxhall.
« Soupirant » a d’ailleurs pour définition Larousse : Celui qui est amoureux d’une femme, qui lui fait la cour…
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Frangy 74

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Aujourd'hui

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Histoire

Des présences néolithiques et romaines ont été relevées à Frangy avec la présence de huit sites archéologiques.
La ville est mentionnée au XIIe siècle sous le nom de Frengiacum.

En novembre 1590, lors des guerres de religion, les Genevois, après avoir manqué leur attaque contre la place fortifiée de Chaumont, par dépit incendient Frangy qui avait le tort d'être sur leur route.

Depuis Genève proche, les protestants exercent une forte pression, cependant la région reste fidèle à l'Église catholique romaine, mais surtout à François de Sales à qui les populations vouent une véritable dévotion.

La commune de Frangy acquiert une certaine importance locale à partir du XVIIe siècle, après la construction du pont sur les Usses. Des commerces alors s'organisent : auberges, cabarets, au nombre de neuf à la veille de la Révolution française, pour une population de 446 adultes.

La Révolution française

En 1792, le duché de Savoie passe sous domination française à la suite de l'invasion du royaume de Piémont-Sardaigne par la jeune république. Les français craignaient une invasion autrichienne par le sud-est et créèrent alors le département du Mont-Blanc.
L'après Révolution française

Historiquement et économiquement, Frangy fait partie de l'espace genevois, et alimente Genève de ses productions agricoles, en particulier de son vin. La zone franche, après 1815, s'arrêtait quelques kilomètres avant la ville mais apportait néanmoins un essor à la commune. Cette année à la chute de Napoléon Ier la ville redevient sarde.

En 1860, le duché de Savoie est annexé par Napoléon III, Frangy repassant ainsi sous domination française.

Pendant la première guerre mondiale le village paye un lourd tribut pour la France seulement 50 ans après son annexion avec 47 hommes décédés principalement sur le front de l'Ouest pour une population d'un peu plus de 1 000 individus. Le village perdra encore 5 hommes pendant la Seconde Guerre mondiale et les guerres de décolonisation.
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Aujuord'hui

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Eglise Saint Rémy de Brazey en Plaine

XIXe s. Classée monument historique. Cet édifice de style néo classique comportant des éléments empruntés à la Renaissance, est dû à l'architecte Petit. Sa construction a débuté en 1835 et s'est achevée en 1840. L'église a été classée monument historique le 10 mars 1995 ; elle est remarquable par sa taille, la belle unité de son architecture et la qualité de sa construction et de ses sculptures. Elle renferme un très bel orgue et d'intéressants tableaux du XVIIème siècle.
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Ile d' Oléron
Boyard ville
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La Couronne (13)
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BOYARDVILLE

L'histoire de ce village insulaire se confond avec la légende, comme tant d'autres en Oléron. Une tradition veut qu'un galion espagnol et sa cargaison d'or se soit échoué au XVIIe siècle au large de la plage des Saumonards. Le village commence à se développer au moment des grands travaux de fortification du pertuis, dont Fort Boyard reste l'exemple le plus célèbre. Sur terre, la tour-modèle de Boyardville accueille une petite garnison, puis une école de torpilles, une unité de la Marine nationale. Le Torpilleur n° 6, un bâtiment d'instruction construit en 1876, est amarré à Boyardville pendant quelques années.
Le chenal de La Perrotine à Boyardville

Le village a longtemps été un port de marchandises important, par lequel transitaient par bateau, avant la construction du pont d'Oléron, les marchandises en provenance et à destination de l'île. Ces marchandises étaient ensuite transbordées sur le tramway à vapeur desservant les villages de l'île du nord au sud. L'ancienne gare est toujours visible sur la route de Sauzelle.

Boyarville est sérieusement frappée par deux tempêtes majeures au cours des dernières décennies : la tempête Martin (dite « tempête du siècle ») de décembre 1999, durant laquelle des rafales de vent frôlant les 200 km/h sont enregistrées (station météo de Chassiron), et la tempête Xynthia de février 2010, qui provoque une forte submersion marine. La rupture d'une digue provoque d'importantes inondations dans une grande partie du quartier. De nombreuses maisons sont envahies par les eaux et la plupart des routes sont coupées.

Une femme de 88 ans est retrouvée morte, victime d'une crise cardiaque à la suite de la brusque montée des eaux. Après la catastrophe, l'état décide de raser 155 maisons du village, comprises dans des « Zones noires » rapidement contestées par une partie des propriétaires, regroupés dans l'Association pour la sauvegarde du site de Boyardville10.

En réaction aux événements qui ont suivi la tempête Xynthia, un vote prévoyant de manière symbolique « l'indépendance » du village a été organisé. 300 personnes se sont présentées à ce scrutin et 96 % de ces votants ont voté la création d'un « État libre de la République du Boyard », mesure symbolique visant à attirer l'attention des pouvoirs publics sur les destructions de maisons situées dans les zones sinistrées ou susceptibles de l'être à l'avenir.

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LA COURONNE

Les villages de La Couronne et Carro ont été des atouts majeurs pendant les 2 guerres mondiales, il y reste beaucoup de blockhaus en bord de mer, dont celui du chemin de la batterie qui avait un énorme canon.

C'est aussi à Carro que Rommel a débarqué à son retour d'Afrique.

À la libération du village, le 24 août 1944, Pierre Jehan (17 ans) a escaladé le clocher de l'église pour y déposer le drapeau français.
Carrières de pierre
Le clocher de l'église (consacrée le 10 mai 1859) comprend les marques des différents tailleurs de pierre ayant contribué à sa construction. En effet, le village se caractérise par la tradition des « queyrouns », les tailleurs de pierre qui œuvraient dans deux carrières principales : la plus ancienne se situait au niveau de l'anse de Couronne-Vieille (on la devine à la forme géométrique du bord de mer). La plus récente située dans les terres au niveau de l'anse du Verdon sert encore occasionnellement pour la rénovation de bâtiments de Marseille construits en pierre de La Couronne, par exemple la Vieille Charité.
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Beau rivage La Roque Gageac (Dordogne)

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Les Saintes Maries de la Mer (Bouches-du-Rhône)

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Beau rivage La Roque Gageac

https://youtu.be/hmvIYp9uq-M

Au Moyen Âge, La Roque Gageac a compté jusqu'à 1 500 habitants. À l'époque, la Dordogne faisait vivre pêcheurs et gabariers du port. De cette période demeure l'église recouverte de lauzes. Non loin se dresse, flanqué d'une tour ronde, le manoir de la famille Tarde, amie de Galilée. Pendant la guerre de Cent Ans, La Roque Gageac accueillit les évêques de Sarlat. Leur résidence, à l'extrémité du village, a été conservée. Dominant les maisons, les vestiges du château défient encore le temps.

Le 17 janvier 1957, un pan de la falaise s'éboule sur une partie du village, tuant trois personnes en détruisant six maisons et une grange, coupant la route et terminant sa course dans la Dordogne8. En 2007, une stèle et une plaque ont été implantées au pied de la falaise à la mémoire des victimes de 19578.

Le 9 janvier 2010, un pan du plafond du fort troglodytique s'effondre entraînant la chute d'une partie du mur de courtine du fort, accroché à la paroi de la falaise depuis le XIIe siècle, sur le côté du bâtiment d'accueil du site. Le 3 juin 2010, au début de la saison touristique, à la suite de la menace d'un rocher de 320 tonnes de s'effondrer sur le village et aux conclusions d'experts d'un danger imminent, la route départementale 703, traversant le village et surplombée par la falaise, est fermée pendant cinq semaines, avec évacuation des personnes les plus menacées. Des travaux de protection, notamment avec la pose de filets, sont effectués pour protéger les vies. À la suite de ces travaux, la RD 703 est rouverte le 10 juillet 2010 et les personnes ont pu regagner leur domicile.

La conséquence de ce danger est que le fort troglodytique n'est plus visitable. D'autres chutes de pierre sont en effet à craindre dans les années à venir.
________________________________________________________________________________________________

Les Saintes Maries de la Mer

Le village des Saintes Maries de la Mer, terre d'accueil, de tradition et de pèlerinage, est construit entre ciel et mer, là où le Rhône embrasse la Méditerranée.
Site de légende, son rivage accueillit, à l'aube de la chrétienté, Marie Jacobé, Marie Salomé et leur servante Sara, chrétiennes persécutées fuyant la Palestine sur une barque sans gouvernail. Le village offre au visiteur l'image de son église altière et protectrice et promet une visite riche d'émotions sous une lumière toujours nouvelle.
A l'ombre de son clocher roman, le visiteur flâne dans les ruelles pavées, sur les traces des pèlerins. Du toit de l'église, le regard à l'affût, nez et cheveux au vent, il se laisse gagner par l'émotion des grands espaces, scènes futures de découvertes et de rencontres chaleureuses avec les hommes et les femmes manadiers qui cheminent à cheval sur les pâturages de taureaux promis à un avenir glorieux.
Du village, ses pas le guident vers les dunes, les plages de sable fin, les vastes étendues de roseaux et les manades. Amoureux de nature et de grands espaces, il goûte aux joies des promenades pédestres et équestres, admire le ballet des oiseaux, cède à l'ivresse de la navigation et de la glisse par grands vents.
Les Saintes Maries de la Mer s'érigent en capitale pour qui s'éprend de la Camargue, envoûté par sa beauté sauvage, sa culture et ses traditions vivantes et authentiques.
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Marseille

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Grimaud

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Grimaud est une commune du Var située dans le massif des Maures. La commune est constituée d'un village médiéval à l'intérieur des terres et d'une cité lacustre, Port-Grimaud.
Le village médiéval est situé à 4 km de Cogolin, à 10 km de La Garde-Freinet et à 12 km de Sainte-Maxime.
Le vieux village est dominé par les ruines du château féodal. Depuis cet endroit, vous aurez une belle vue sur le village, mais surtout sur le golfe de Saint-Tropez (qui d'ailleurs s'appelait "golfe de Grimaud" jusqu'à la fin du XIX° siècle).
Le vieux village est magnifique : ruelles, arcades, façades de maisons fleuries, placettes,...
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je suis née à Toulon et j'ai toujours entendu Port Grimaud est construit sur un ancien marécage par mes parents.

source wikipedia/
Port Grimaud a été conçu et construit par l'architecte mulhousien François Spoerry. En 1962, ce dernier possédant une maison à Cavalaire apprend que des terrains marécageux sont en vente au fond du golfe de Saint-Tropez près de l'embouchure de la Giscle. Il les achète et y édifiera un vaste lotissement : une cité lacustre intégrée à cet environnement méditerranéen1. À une époque où la conservation de la nature est une préoccupation moindre qu'aujourd'hui, disparaissaient ainsi les premiers pans d'une immense zone humide existant encore le long de la Giscle (qui était jusqu'alors considérée comme peu salubre). Au fil des extensions de la cité et de sa jumelle « Les Marines de Cogolin », cet écosystème finira par être entièrement sacrifié.

Le premier permis de construire est délivré le 13 juin 1966, mais c'est le 14 juin qui est retenu comme date fondatrice de la cité à la suite de la demande de Paul Ploix, haut fonctionnaire de la préfecture du Var chargé du dossier de Port Grimaud, et ami intime de François Spoerry : il tenait à célébrer la naissance de son fils né ce jour-là. La première place construite dans la cité, baptisée « place du 14-juin » commémore ces deux évènements2,3. L'obtention du permis de construire fut néanmoins freinée quelque temps pour des raisons administratives : le projet prévoyait la démolition de deux silos à sables qui, bien qu'étant abandonnés, servaient d'amers pour les marins. Le projet de construction de l'église Saint-François d'Assise qui devait être facilement visible depuis le large finit par convaincre l'administration maritime4.

Spoerry et son équipe travaillèrent durant trois ans à l'élaboration des plans de la cité lacustre. Celle-ci devait être édifiée sur la terre avant que la mer n'y soit amenée par l'intermédiaire de canaux qui seront consolidés pour éviter la pollution de la nappe phréatique. Les futures îles et presqu'îles qui doivent former la cité sont préalablement délimitées par des palplanches d'acier destinés à stabiliser la terre, puis elles sont surélevées par les déblais issus des canaux qui sont creusés au ras de ces palplanches4.

Les travaux de la première tranche débutèrent en juin 1966 autour des futures « place du 14-juin » et « Grand'Rue », le long de la plage. Les 75 premières maisons en bordure du canal et quarante appartements sont livrés en juillet et août 1967. C'est dans ce « village » partiellement construit, quasiment pas végétalisé et dont des bâtiments apparaissent encore non crépis à l'écran, que sont pourtant déjà tournées par François Reichenbach des séquences de Spécial Bardot, émission de télévision de prestige du Nouvel An diffusée le 1er janvier 19685. Le chantier de la première tranche se poursuivit jusqu'au printemps 1968. Aux premiers logements livrés venait s'ajouter 130 appartements et studios donnant sur la plage, ainsi que trente locaux commerciaux sous arcades et sur la « place des Six-Canons ». L'hôtel Giraglia ouvrit ses portes en juillet 1968 après plusieurs mois de travaux ayant débuté à l'automne 19676. Afin de faciliter l'intégration des nouvelles constructions dans le paysage méditerranéen et les faire paraître aussi authentiques que n'importe quel village provençal, Spoerry n'hésita pas à réutiliser les matériaux (carrelages, tuiles, éléments de charpente, menuiserie, ferronnerie…) issus d'un chantier de démolition d'un quartier de Romans-sur-Isère7.

C'est ainsi qu'est né un village lacustre avec son église, ses commerces et ses services (dont un bureau de poste) constitué de maisons et desservi à la fois par un accès terrestre et par un quai où l'on peut amarrer son bateau. Sa construction s'étalera en plusieurs tranches successives jusque dans les années 2000.

Depuis 2001, Port Grimaud est labellisé « Patrimoine du XXe siècle »8. Cet ensemble immobilier unique qui s’étend sur 75 hectares représente au total 2 400 logements, plus de 2 000 places de bateaux, 7 km de canaux, 14 km de quais, quatorze ponts plus une passerelle en bois, ainsi que douze îles.
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Saint Valéry en Caux (76)

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Le pont des Trois-Sautets, situé au sud d'Aix-en-Provence, près de la RN 7, sur les communes d'Aix-en-Provence et de Meyrel, est un pont enjambant la rivière de l'Arc. C'est un pont à une seule arche à dos d'âne. Sa construction remonte à 1655. Il est aujourd'hui classé monument historique.
Le nom du pont vient des trois petits sauts (ou « sautets ») qu'il fallait faire pour franchir l'Arc en cet endroit avant l'érection de l'ouvrage.
Camping "L'Arc en Ciel"


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djef24
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Le Saint-Valery-en-Caux de Dominique Letellier
Pour cette mise en lumière, une invitée de marque, nous livre sa vision, sa visite, de cette étonnante ville tournée vers la mer et au patrimoine incroyable, il s'agit de la romancière Dominique Letellier.
Une visite entre patrimoine et mer :

Saint-Valery-en-Caux : le patrimoine historique et la mer vous attendent !
Cette charmante station balnéaire se situe sur la Côte d'Albâtre, entre Dieppe et Fécamp, à environ 60 kilomètres de Rouen. Vous avez une voiture ? Pas de problème !
Nous vous retrouverons au Port de plaisance de Saint-Valery-en-Caux !
Vous n'avez pas de voiture ? Pas de problème ! Venez avec moi ! Lorsque je séjourne en Seine-Maritime, mon point de chute se trouve dans l'agglomération de Rouen. Alors, aujourd'hui, pour nous rendre à Saint-Valery ou Saint-Val, comme j'aime l'appeler, notre première étape est la Gare SNCF de Rouen Rive Droite.
Ma dernière visite date de 2016. A 10h03 un vendredi, nous prenons le train vers Yvetot (direction Le Havre).
Arrivée à 10h32. L'arrêt de l'autocar est érigé devant le parvis de la gare. Le véhicule nous emmène gaiement treize minutes plus tard !
Vous découvrirez la campagne normande, avec ses villages, ses champs, de belles bâtisses aussi, ou des maisons, des granges abandonnées. Nous traversons Doudeville, capitale du lin, et Cany-Barville que je vous conseille de visiter... un autre jour !

A Saint-Valery-en-Caux, le car s'arrête devant l'ancienne Gare SNCF qui a cessé toute activité depuis 1994. Dommage ! Car cela représente un certain manque à gagner pour la ville ::: un voyage en train est pittoresque et amène des touristes, des voyageurs, ce qui est important pour le commerce, l'hôtellerie, la restauration, l'activité touristique !
Continuons à gauche. Nous longeons le Port de plaisance. Niché dans un bassin à l'intérieur des terres, il est protégé, à l'opposé, par un flanc progressif de la vallée couverte de maisons. Il accueille près de 500 bateaux qui vont du canot au petit yacht.
A peine deux minutes plus tard : arrêt et terminus du voyage. Nous descendons de l'autocar. Nous sommes presque à un carrefour.
Le centre ville de Saint-Valery-en-Caux fut détruit à soixante-dix pour cent lors de la Seconde Guerre mondiale. Reconstruite, la ville présente les atouts d'une commune où il fait bon vivre, se promener. Sa taille est un avantage. En 2014, 4 230 habitants y vivaient.
Après cet aparté... Laissez vos yeux aller de la droite vers la gauche. Ainsi, cette bâtisse avec son paysage en trompe-l'œil vous interpelle ! La rue, pourvue d'immeubles bas, monte… Oups, je ne suis jamais encore allée plus loin !
Face à vous, la Place du Marché ! Elle est bordée sur sa gauche par l'Hôtel de ville, à la façade orange, aux trois étages et aux balcons fleuris. Au-delà du quartier de la place, nous accéderons à la mer.
Pour l'instant, poursuivons ce demi-cercle du regard. Le pont levant permet, d'une part, aux bateaux d'atteindre la mer grâce à ce chenal.
D'autre part, il offre aux piétons et aux véhicules la possibilité de se rendre sur l'autre rive.
La Place du marché (les étals sont présents le vendredi matin) accueille de nombreux commerces indépendants, une boulangerie aux délicieux gâteaux, la librairie et, bien sûr, des restaurants.
A son extrémité, la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Port honore les marins. Les vitraux magnifiques procurent une lumière particulière. Place de la Chapelle (qui est une rue), rafraîchissez-vous ou déjeunez au St Val de Franck, un bar/brasserie avec une terrasse abritée.
De là, prenez à gauche, encore à gauche. Notez que les immeubles aux alentours n'ont que deux à trois étages, ce qui est agréable pour la circulation de l'air, pour les yeux.
A présent, à droite : premier choc, vous apercevez une falaise crayeuse, typique de notre littoral.
Tournez à gauche et....
Vue sur la falaise
Vue vers le sud (avant l'aménagement de la Promenade)
Vue sur la falaise

...La Manche vous salue, avec ses couleurs changeantes ::: bleu profond, bleu, vert, marron !

Maintenant, vous avez le choix :
- la découverte des falaises : restez prudents !
- flâner sur les galets et en ramasser quelques-uns !
- déposer votre tapis de sol et vous allonger pour bronzer, lire, discuter ou savourer votre pique-nique !
- vous baigner
- chercher des coquillages !
ou :
- pénétrer dans le Casino et gagner beaucoup d'argent (????)
- parcourir des livres au kiosque "Lire à la Plage" durant la période estivale.

La Promenade fut aménagée vers 2015. Vous aurez le loisir d'admirer le paysage, les navires de manière très confortable. Suivant l'heure, vous serez même en mesure de vous asseoir à l'ombre, toujours face à la Manche. Suivez cette allée, avec la mer à votre droite. Vous parviendrez à une terrasse avec des parasols, des sièges, une buvette.
Ici, il est préférable d'avoir emmené son repas, fait maison ; les restaurants sont à l'intérieur des terres.
Les bambins seront ravis de se défouler au grand espace de jeu !
Si vous avez plus de dix ans, restez assis(e) ou allongé(e) sur un fauteuil, une serviette et appréciez l'environnement ! Les oiseaux vous salueront ! De loin, vous vous amuserez à compter les embarcations, les planches à voile, les nageurs.

Cela dit, Saint-Valery-en-Caux a cet avantage = être moins fréquentée que Dieppe ou Etretat !
Il vaut mieux cependant éviter le samedi, le dimanche !
Vous êtes reposé(e) ou prêt(e) à repartir ? Vous êtes au bout de la promenade. Tournant le dos au phare et à la mer, vous virez à gauche, empruntez le Quai d'Amont afin de longer le chenal. Sur l'autre rive, les maisons au style unique se dressent.
Assez vite, vous voilà près du pont levant. Sur la rive droite, des immeubles bas, aux toitures d'ardoise vous contemplent. Pour certains, ils sont blancs avec des volets bleus, comme à Vichy. D'autres furent érigés avec des briques. Parfois les murs sont crépis ! Les styles diffèrent ainsi que les années de construction.
Oh ! Sur le Quai du Havre, l'une des bâtisses surprend, fascine. Surnommée la Maison Henri IV, cette demeure, rénovée, à colombages possède quatre portes, une double porte en bois, des fenêtres à petits carreaux. Le premier étage, la mansarde vous dominent ! Des boiseries aux figurines sculptées ajoutent à son charme.
Mais la surprise vous attend encore. Juste à droite de cette Maison, le passage pavé mesure moins de deux mètres de large. De chaque côté, de hauts murs surplombent le site. Personnellement, des cavaliers se seraient engouffrés, je n'eus point été stupéfaite. Oui, ici, j'avais l'impression d'un autre temps, d'une plongée dans l'Histoire. De rares fenêtres, des soupiraux aux vitres poussiéreuses, une lanterne nous rappellent encore et encore ce passé. Nous sommes toujours à Saint-Val, si proche du centre ville, et, cependant, nous avons la certitude d'être au 19e siècle, ce en moins de vingt secondes !
Quand vous déboucherez du passage, regardez vers votre gauche ! Large d'un peu plus de deux mètres, cette voie est pavée. Dépourvue de trottoir, elle monte doucement et sûrement ! Elle abrite des maisons de briquettes, de silex, avec des toits très pentus. Des lanternes accrochées aux parois nous enchantent. D'antan, ce quartier, si bien préservé, fut habité par des pêcheurs.
La rue des Pénitents est magnifique, un trésor dans Saint-Val !!!
Ces maisons, parfois d'un étage, accolées, décorées souvent de jardinières fleuries, m'avaient sidérée !
Une beauté absolue ! Il y règne aussi un silence qui ajoute un bien-être à cette atmosphère.
Prenez votre temps, photographiez !
Vous aurez le choix de descendre vers le Quai du Havre ou de poursuivre la Rue qui monte, qui monte vraiment (!!!) Si vous opérez ainsi, vous apercevrez le Cloître des Pénitents fondé au XVIIe siècle.
Par la suite, redescendez vers le centre ville. Reprenez le pont levant et rendez-vous à l'arrêt du Port.
L'autocar partira à 16h19 pour arriver à 17h10 à la Gare SNCF d'Yvetot. Vers 17h30, deux trains roulent en direction de Rouen ; l'un est direct, l'autre, non. Vous serez de retour à votre domicile en ayant une envie : retourner à Saint-Valery-en-Caux !
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Philou 33
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Bessèges (30)

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Lombarsijde(B)

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Bessèges

A l’origine, Bessèges était un simple hameau de la paroisse de Saint-André de Robiac. C’est par décret impérial en date du 1er janvier 1858 que Bessèges naît administrativement.
Ville champignon par excellence, Bessèges se construit et se développe en un temps exceptionnel sur les flancs des collines et les bords de la rivière Cèze, sous le regard impassible du Mas de la Cantonade, certainement la plus ancienne habitation de la ville.
La ville se dessine avec la construction de l’église en rive gauche : les travaux débutent en 1864 pour s’achever en 1868. Notre-Dame de Bessèges est dédiée à la Vierge, à Sainte-Barbe et à Saint-Eloi, respectivement patrons des mineurs et des forgerons. C’est une des rares églises françaises à avoir la devise « Liberté-Egalité-Fraternité, République Française » inscrite sur le fronton. En 1876, l’église est dotée d’un remarquable orgue, qui sera classé monument historique en 1991.

La catastrophe des Mines de Lalle

Le 11 octobre 1861, un violent orage éclata dans la région. Le ruisseau du Long en crue s’engouffra rapidement dans les galeries de la mine. Sur les 139 mineurs présents ce jour-là, 110 périrent noyés, 4 survivants furent trouvés plusieurs jours après, dont un jeune garçon. L’inondation des Mines de Lalle inspira Hector Malot pour son roman « Sans Famille » et le personnage de Rémi, jeune homme rescapé de la mine inondée.

Le Corso de Bessèges

Le premier Corso eut lieu en 1905. Il y eut un imposant défilé : plus de 30 chars tirés par des chevaux ou des boeufs. Il est à noter que chaque industrie et quelques artisans présentèrent un sujet ayant trait à leur activité. A cette époque, les roses étaient confectionnées de façon différente et plus grosses que les roses actuelles. La cavalcade était surtout constituée de feuillage avec des branches de buis dans lesquelles étaient piquées de roses. D’immenses guirlandes étaient suspendues sur les crinières des chevaux et autour du plateau supportant le char. Des roses garnissaient les roues des chars.

En 1908, il y eut une innovation parmi les attractions : l’organisation de joutes dans le lit de la Cèze.

Ajourd'hui on peut admirer le travail minitieux des associations qui confectionnent les chars lors de la fête qui a lieu le premier week-end de septembre.
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Honfleur

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Aujourd'hui

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La Grande Motte

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Sète

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LA GRANDE MOTTE
On découvre 10 anecdotes sur les pyramides
de La Grande Motte

Aujourd’hui on a décidé de vous faire visiter notre ville mais à travers l’œil de l’architecte et de vous faire découvrir les fameuses pyramides de La Grande Motte

C’est parti !

1. La Grande Pyramide
Tout d’abord c’est la plus grande pyramide de La Grande Motte, elle représente le reflet inversé du Pic Saint-Loup et symbolise ainsi une transition entre le quartier des Pyramides du Levant (centre-ville) et des bâtiments « conques de vénus » ou « bonnets d’évêque » du Couchant. Par ailleurs, ses modénatures (formes de béton plaquées sur sa façade) ne vous font-elles pas penser à des maillots de bain ?
pyramides de La Grande Motte

2. L’Eden

Ensuite, nous avons l’Eden dessiné par Jean Balladur. Ce bâtiment fait face au port et nous propose un mouvement cinétique incroyable à travers ses modénatures. L’Eden possède également une sœur jumelle dans La Grande Motte, une pyramide presque identique que nous vous laissons le soin de retrouver ! (Mettez nous vos propositions en commentaire !)

3. Le Fidji

Également œuvre de Jean Balladur, cette pyramide nous propose une modénature en forme de lunettes de soleil. Aussi le bleu de ses stores nous renvoie immédiatement à la couleur du ciel et de la mer. Les sculptures de béton et de briques qui ornent les jardins sont les « médailles » de l’artiste Albert Marchais.

4.L’Acapulco

Puis il y a l’Acapulco. Son anecdote, vous le savez surement, c’est la forme triangulaire qu’on retrouve tout le long de sa façade, une modénature qui fait référence au fameux profil (à son nez surtout) du Général De Gaulle !

5. Le Babylone

Ce bâtiment est l’un des plus majestueux et des plus vertigineux de La Grande Motte. Son nom fait référence aux jardins suspendus de Babylone, considérés comme l’une des 7 merveilles du monde ! Ici, ce sont les terrasses qui sont suspendues en revanche 🙂

6. Le Grand Pavois

Nous avons ensuite le Grand Pavois qui est, avec Le Provence, le premier bâtiment a être sorti des sables de La Grande Motte. Il est donc le premier a avoir accueilli des habitants en 1968. Cette année c’est donc son 50ème anniversaire !

7. Le Temple du Soleil

Contrairement à tous les autres immeubles vus précédemment, on doit ce bâtiment à l’architecte Louis-Gabriel De Hoym De Marien qui s’est inspiré de l’un des bâtiments emblématiques de l’exposition universelle de 1967: Habitat 1967 de l’architecte Moshe Safdie.

8. Le Poséidon

Ce bâtiment que vous verrez des plages du Couchant a été réalisé selon le gabarit architectural appelé « bonnet d’évêque » et a été pensé par le fils de Jean Balladur, Gilles Balladur.

9. Le Parador

Le Parador est l’un des bâtiments emblématiques appartenant au gabarit architectural des « conques de vénus ». En effet ce sont des bâtiment aux formes courbes et relativement bas (maximum 5 étages) que l’on retrouve dans tout le quartier du Couchant.

Contournez-le ! La façade nord du bâtiment est bleue. C’est l’une des rares façades de La Grande Motte en couleur !

10. Les Incas

Cette pyramide tire en effet son nom de l’inspiration de son architecture aux temples précolombiens de Téotihuacan. Les références aux civilisations précolombiennes sont très présentes dans La Grande Motte, à la fois d’un point de vue architectural mais aussi dans le nom des résidences (vous trouverez également dans le quartier du Levant « Les Palais Mayas ».
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SETE
Il y a 90 ans tout juste, la ville changeait de nom. Epilogue d’un long et tortueux cheminement...

Quelle fut longue, cette “bataille” orthographique ! Il aura fallu attendre le 20 janvier 1928 pour que Cette soit officiellement rebaptisée Sète. C’était donc voici seulement 90 ans. Un décret ministériel avalisait ce changement voté à l’unanimité du conseil municipal cinq mois plus tôt, le 27 août 1927.
Ce fut l’épilogue d’un cheminement long et tortueux, le site puis la ville (née après la création du port en 1666) ayant été désignés, depuis la haute Antiquité, par pas moins de 18 noms différents (1) !

Deux versions initiales pour désigner le mont

Il faut dire que, dès le départ, deux versions se sont affrontées dans cet interminable débat toponymique et étymologique.
La plupart des différentes appellations avaient certes un point commun : elles évoquaient avant tout la présence, bien visible depuis le large, de cette colline boisée, qui s’appellera bien plus tard le mont Saint-Clair, qui permettait de localiser et d’identifier de loin le “cap de Cette”.
Mais si certains noms étaient dérivés, justement, de ceux employés à propos d’un lieu élevé et boisé - au XVIIe siècle, la “montagne” était encore recouverte de pins -, les autres faisaient référence à la morphologie même de cette élévation naturelle, sa forme allongée n’étant pas sans évoquer celle d’un cétacé, baleine ou cachalot.

Les arguments du maire

C’est la première version qu’avait invoquée le maire de l’époque, Honoré Euzet, en prenant la parole durant cette séance d’août 1927 :
« Le peuple qui vint s’établir sur notre territoire méditerranéen donna le nom Settin (NDLR : Settim était également, sinon plus usité) au mont de Cette, parce qu’on l’aperçoit de loin dans la mer, couronné d’une forêt de pins. Plus tard, ce nom subit de fréquentes altérations et les latins en firent Sition, Sitius, Sita ; les cartes espagnoles indiquent Septa. Puis on écrivit Ceta, Seta, Sette et enfin Cette. J’estime qu’en donnant au nom de notre ville l’orthographe étymologique “Sète”, il se dégagera de cette appellation la signification que lui avaient donné les premiers qui vinrent s’établir sur le territoire méditerranéen (...) ».

Mettre fin à la confusion avec l’adjectif

Un autre élément a pesé dans la volonté municipale de s’accorder sur le nom Sète. Honoré Euzet reprenait en effet également l’argument déjà avancé 135 ans plus tôt, sous la Révolution, par l’assemblée qui présidait alors l’administration municipale : le fait que l’orthographe Cette « équivoque le pronom “cette” ». C’est-à-dire qu’il créait une confusion avec ce qui est en fait un adjectif démonstratif ou déterminatif.
Cette (sic) première demande « sombra comme beaucoup d’autres dans la tourmente révolutionnaire », dixit Honoré Euzet, qui conclut ainsi son laïus : « Je prie le Conseil de bien vouloir revenir à l’ancienne forme, qui aura l’avantage d’être plus logique, plus rationnelle, tout en rappelant l’origine et le passé de notre chère cité ». Et le vœu fut exaucé. Passant comme une lettre à la poste. Reçu Sète sur Sète.
Ce changement, qui survint dans un contexte économique plutôt favorable, avait sans doute été encouragé par l’exemple récent venu des Cévennes gardoises : en 1926, Alais redevenait Alès. Mais il s’agissait là de rectifier l’erreur de retranscription d’un scribe, commise sous Louis XIII, et qui avait perduré...

A l’envers, Sète se lit... “étés”

Dans la ville où naquirent Paul Valéry et Georges Brassens, comment ne pas refermer cette saga sur une note poétique ? Elle nous est livrée par Michel Ségura, membre de la Société d’études historiques et scientifiques de Sète et sa région. Le nom Sète est en effet anacyclique : il peut se lire aussi à l’envers, de droite à gauche, formant un autre mot : “étés”. L’été au pluriel. Voilà qui lui va comme un gant, non ?
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Autun place du champs de Mars

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Autun et l'histoire

Inscrite dans le réseau des Villes d’Art et d’Histoire, Autun possède un patrimoine exceptionnel, reflet d’une histoire prestigieuse engagée il y a plus de deux millénaires. C’est à cette époque que le peuple gaulois éduen, dont Autun-Augustodunum fut la capitale, signa un traité d’alliance militaire avec Rome.
Avec dix vestiges encore en élévations, Autun est le premier site gallo-romain au nord de la Loire.
Le Moyen-âge chrétien a laissé la cathédrale Saint-Lazare, au caractère clunisien, érigée à partir de 1120. L’artiste Gislebertus signa ses sculptures, notamment le célèbre tympan du Jugement dernier, ou encore l'Eve couchée, la Fuite en Egypte, le Sommeil des Mages. Les hauts quartiers qui entourent la cathédrale conservent encore des signes de cette époque médiévale : rues étroites et maisons à colombages.
Le XVe siècle porte l'empreinte de Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne, et de son fils Jean avec notamment l’hôtel Rolin, actuel musée qui abrite les collections municipales.
La Renaissance, ainsi que l'époque classique, ont aussi marqué Autun. L'ancien collège des Jésuites devenu lycée, situé en centre-ville a accueilli Napoléon et son frère Joseph, ce qui lui vaut d'ailleurs le nom de Bonaparte. A noter au passage que Talleyrand, le diable boiteux, fut évêque d'Autun.
A la fin du XVIIe, le grand séminaire est construit avec son toit en tuiles vernissées qu’il conserve intégralement. C’est un lycée militaire depuis 1884.
Du XIXe siècle, datent l’hôtel de ville et le théâtre à l’italienne qui bordent la place Champ de Mars, une belle ouverture sur les commerces du centre-ville, complétée par le passage couvert a conservé son décor en stuc néo-renaissance et sa verrière d’origine.
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Bien vu, la Notin à Autun!
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:hello:

Une américaine pour tracter la bête, vu son poids, p'tet une Chevrolet Bel Air de 56, moteur 6 en ligne (3.5 l ou 3.9 l) ou en option V8 (4.3 l ou 4.6 l) essence bien sûr !!!
Autun NotinREC.jpg
Autun NotinREC.jpg (23.15 Kio) Vu 11499 fois
JP :happy1:
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En réalité Autun est une ville américaine.... car "Autun en emporte le vent"
:vivemoi: .
Quand à la Notin, il y a 3 ans nous étions au camping Beau Rivage au lac de Pareloup. 3 emplacements plus loin... une Notin, une bête avec deux entrées, volets,en bois, persiennés, cuisine de fou... salle de bain.
Par contre pas connaissance du modèle. Le proprio tractait avec un Pick-Up Toyota 3.5l turbo mazout. Y avait du savoir faire dans notre pays avant le néolibéralisme :odieux1:
Jean-Paul Image
Où flotte le drapeau comtois, qui que tu sois, tu es chez toi.
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Message non lu par djef24 »

J'ai eu l'occasion de visiter une Notin......mais c'est le luxe...... :loving:
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Barr (67)

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Barneville sur Mer (50)

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eribabinbin
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Bonjour

Voiture verte, Opel Kadett ?
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Philou 33
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eribabinbin a écrit : jeu. 26 mars 2020 09:50 Bonjour

Voiture verte, Opel Kadett ?
8| 8| Où cela ?
Je vois une nariane bleue :mdr1: :mdr1:
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JeanYvon
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Hello!
Non, Ford Anglia (La vitre arrière comme les trois brêles citron)
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djef24
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BARR

La localité s’appuie sur les contreforts du massif des Vosges au pied du mont Sainte-Odile et à 8 km au sud d'Obernai. Elle est traversée par la Kirneck, affluent de l’Andlau et sous-affluent de l’Ill.
Barr est capitale viticole d’Alsace avec sa plus ancienne foire aux vins d’Alsace (plus de 100 ans) et son historique « Fête des vendanges » qui se déroule traditionnellement le premier week-end d’octobre.
Histoire

Même si la première trace écrite, mentionnant le village de Barr sous le nom de Barru, date de l’année 788, les historiens pensent que ce site a été occupé bien avant, comme le prouvent les nombreux vestiges préhistoriques de l’âge du fer et de l’âge du bronze découverts dans le secteur.

À l'origine propriété impériale, la ville fut cédée par les Habsbourg à Nicolas Ziegler en 1522, puis transformée en franc-alleu trois ans plus tard. Par la suite ses fils la vendirent à la ville de Strasbourg, dont elle dut épouser la cause dans la guerre qui opposa Strasbourg protestant aux Lorrains catholiques. En 1592, ceux-ci brûlèrent le château, la maison commune et soixante-dix habitations, et torturèrent plusieurs habitants.

Pendant la guerre de Trente Ans elle eut à souffrir des Impériaux, des Suédois et des Français, mais moins que les villages environnants. Dans le conflit qui opposa Louis XIV à Strasbourg la ville fut occupée par les Français ; le meurtre d'un officier par un habitant amena en représailles l'incendie de la ville..

La reconstruction fut rapide et par la suite Barr ne connut plus de catastrophe de ce genre, même s'il dut supporter le passage de troupes qu'il lui fallut entretenir.

Au XVIIIe siècle, un procès qui devait durer près d'un siècle opposa les localités de la seigneurie de Barr à la ville de Strasbourg, leur suzerain, qui revendiquait la totalité des forêts de sa vassale. En 1763, une première décision en attribua le tiers à Strasbourg ; il y eut appel et ce ne fut qu'en 1836, sous la Monarchie de Juillet, que le verdict fut définitivement confirmé. Il y a encore une quarantaine d'années, de vieux Barrois appelaient la partie possédée par Strasbourg d'r g'stohlne Wàld, la forêt volée. Mais on est toujours le voleur de quelqu’un : au XVIIIe siècle également, Strasbourg fit construire, en toute légalité, un petit canal qui détournait vers la Kirneck une partie des eaux qui auraient dû arriver à Andlau, et il y a une cinquantaine d’années, de vieux Andloviens parlaient encore du g'stohlnes Wasser, de l’eau volée. Aujourd’hui, cette affaire elle aussi paraît oubliée de part et d’autre ; il semble même que l’actuelle municipalité barroise ne connaisse plus l’existence du canal (encore entretenu dans les années quatre-vingt) et, la nature reprenant ses droits, les eaux retourneront peut-être bientôt à Andlau.

De violents combats y opposèrent en 1944 des Allemands nazis et des soldats américains. Ouvrages consultés : Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr et Obernai, 1993 (p. 99 et suiv.), 2004, (p. 81 et suiv.).

Le 20 janvier 1992 à 19 h 20, au lieu-dit La Bloss, sur la commune de Barr, un Airbus A320 assurant le vol 148 Air Inter s'écrase sur une crête proche du mont Sainte-Odile faisant 87 morts et laissant 9 survivants.
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420px-Barr_Place_de_l'Hôtel_de_ville.JPG (46.5 Kio) Vu 11456 fois
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BARNEVILLE SUR MER

La "ville de Barni", nom de personne scandinave.

Le nom de Barneville-sur-Mer est déjà en usage au XIVe siècle, en alternance avec celui de Barneville, et d'un emploi courant aux XIXe et XXe siècles. La commune officialisa l'appellation de Barneville-sur-Mer en 1962, trois ans avant sa fusion avec Carteret.

Cela fait tout juste 50 ans, ce lundi 10 novembre, que le préfet de la Manche, André Dubois-Chabert, signait l'arrêté conduisant à la fusion des communes de Barneville-sur-Mer et de Carteret. Le 1er janvier 1965 naissait la commune de Barneville-Carteret.

La volonté de deux maires. À l'époque, la réforme des collectivités territoriales n'était pas d'actualité. Cette fusion fut le fruit de la volonté de deux acteurs économiques de ces communes, Jean-Louis Joly, hôtelier, maire de Carteret, et Marcel Chanu, pharmacien, maire de Barneville-sur-Mer. En 1965, Jean-Louis Joly se mit en retrait pour céder le siège de maire à Marcel Chanu jusqu'en 1971, et reprit la main jusqu'en 1977. Une alternance ayant réglée le problème de la fonction suprême.

Un rapprochement logique. Les communes de Carteret et de Barneville-sur-Mer disposaient chacune d'un secteur de Barneville plage, la partie Nord (au-delà du boulevard des Ecréhou) se situant sur Carteret. Les enfants de ce secteur fréquentaient donc l'école de Barneville plage, le havre séparant géographiquement les trois pôles, mais constituant par ailleurs un intérêt touristique commun.

Des réticences. Un mariage de raison, demeurant néanmoins un sujet sensible, au point que certains témoins de l'époque préfèrent ne pas l'évoquer publiquement. Depuis 1965, deux tentatives de « défusion » ont en effet été engagées par des opposants. Aujourd'hui encore, existent deux clubs des aînés, l'un à Barneville et l'autre à Carteret, mais fréquentés réciproquement par des habitants des 3 pôles, bon nombre de retraités ayant exercés ailleurs et ne se sentant pas concernés par ces querelles de quartier. « On a longtemps parlé de la commune libre de Carteret », se souvient une Barnevillaise.

Une évolution positive. Grâce à ce rapprochement, la station compte autour de 2 300 habitants. Elle dispose de nombreux atouts sur le plan touristique et constitue le fer de lance de la Côte-des-Isles, même si elle vient de perdre son statut de chef-lieu de canton au profit de celui des Pieux. La réforme des collectivités est maintenant dans l'ère du temps. Les élus et la population dans son ensemble ont maintenant les yeux rivés vers l'avenir. Après la création de la 3CI le 1er janvier 2005, l'heure est à la réflexion pour une extension plus large avec les territoires voisins.
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Philou 33
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Narbonne

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Aujourd' hui

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djef24
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La Narbonnaise 2500 ans d'histoire
Narbonne Ville d’art et d’histoire
Première colonie romaine hors d’Italie, Narbo Martius, fondée en 118 av. J.-C., est le point de convergence entre l’Italie, Espagne, Atlantique et Méditerranée, Massif Central et Pyrénées. L’antique capitale de la Province de Narbonnaise est traversée par le Canal de la Robine, classé au patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO et ouverte sur l’arc méditerranéen, avec sa station classée Narbonne-Plage. La promenade dans Narbonne, Ville d’art et d’histoire vous offre un authentique voyage dans le temps. Chaque rue du coeur de Ville historique est un témoignage de la richesse de son histoire. Antiquité, Moyen Âge, Renaissance, les 2500 ans de la Ville ont laissé un héritage patrimonial remarquable que vous retrouverez dans ses musées. La culture méditerranéenne et son passé antique lui ont conféré cet art de vivre particulier, propre aux villes du Sud où l’on est plus sensible à la lumière, à la chaleur et à la beauté.

Narbonne-Plage, station balnéaire de tourisme

Entourée d’étangs, de lagunes, de pinèdes odorantes et de 3 vignobles AOP, Narbonne bénéficie d’une nature préservée. Idéale pour les randonneurs, les amateurs d’espaces, de faune et de flore remarquables. Découvrez les massifs classés de Fontfroide et de la Clape où les vignerons et producteurs vous feront partager leur passion du terroir et vous inviteront à découvrir leurs produits authentiques. Narbonne-Plage aux rivages de sable fin, Pavillon Bleu d’Europe depuis 1988 offre des équipements de loisirs qui comblent les désirs et plaisirs de toutes les familles. Avec 300 jours d’ensoleillement par an, la station vous propose tout au long de l’année une offre sport et nature complète.

Narbonne terre d’abondance

Berceau de l’histoire du vin en Narbonnaise, Narbonne est aussi un terroir de tradition millénaire pour les olives, le miel de romarin des Corbières, les huîtres des étangs narbonnais, mais aussi le sel, l’une des matières premières de l’Antiquité. Le Narbonnais se décline dans une infinité de paysages, depuis les ruelles du vieux Narbonne jusqu’aux rocs déchiquetés des Corbières, des plages immenses aux terrasses du Minervois. Entre ces deux extrêmes, entre les collines couvertes de garrigues odorantes et la mer, tout un monde lagunaire préservé les étangs et les salins. Par endroits, la basse plaine sillonnée de roubines (canaux) est plantée de vignes, de vergers et de rizières. De ce coeur humide, sans transition, de petites routes agréables mènent aux typiques massifs calcaires. Narbonne au tempo de sa vie culturelleAu coeur de l’été ensoleillé et dans la douce magie de Noël, la Ville de Narbonne vibre au rythme des « Tempos ». Une appellation phare des rendez-vous festifs de la ville dont la programmation de grande qualité est entièrement gratuite. Le Théâtre Scène Nationale, le cycle de concert « Musique en Monuments » et de nombreuses expositions temporaires viennent parfaire une offre culturelle riche qui rayonne dans toute la ville.
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Philou 33
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Abbaye de Bon Repos à St Gelven (22)

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Thil Manneville (76)

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Abbaye Notre-Dame de Bon-Repos
L'abbaye Notre-Dame de Bon-Repos (en breton abati Itron-Varia a Verrepoz) est située sur la commune de Saint-Gelven dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Elle se trouve le long du Blavet, également canal de Nantes à Brest à cet endroit.

Cette abbaye fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 janvier 19402.

Fondation
L'abbaye cistercienne fut fondée le 23 juin 1184 par le vicomte Alain III de Rohan et son épouse Constance de Penthièvre de Bretagne, en forêt de Quénécan sous le nom de "Sanctae Mariae de Bona Requie" en présence de Dom Pierre, abbé de Clairvaux, de Dom Simon abbé de Savigny et de Raoul II de Fougères. La première communauté l'occupant viendra d'ailleurs de Savigny.

Période médiévale

La crypte de l'église abbatiale servira entre 1196 et 1516 de sépulture à treize vicomtes de la grande famille de Rohan ainsi qu'à plusieurs de leurs épouses.

La commende
Prospère jusqu'au XVIe siècle, l'Abbaye devient alors royale sous le régime de la commende en 1534. Commence pour elle une période de déchéance qui s'achève au XVIIIe siècle par l'arrivée à sa tête en 1683 de l'abbé Philippe Alexandre Montault-Navaille de Saint-Genies, qui reprend en main l'abbaye ruinée. Elle redevient alors prospère pour environ un demi-siècle. Plusieurs de ses abbés sont alors issus de la Famille de Rougé et du Plessis-Bellière, une ancienne famille bretonne.

Destructions
À la Révolution française de 1789 les 4 derniers moines de l'abbaye de Bon Repos fuient vers l'Angleterre et laissent l'abbaye à l’abandon. Cette date marque la fin de la vie monastique au sein de cette dernière. En 1791 un inventaire est réalisé dans l'abbaye par les révolutionnaires, puis elle est vendue comme bien national, et achetée par un tisserand révolutionnaire, maire de Rostrenen, Julien Le Bris, qui y installera une manufacture de textile. Ce n'est qu'en 1796 qu'elle sera pillée - et non brûlée - par les chouans qui l'occuperont à plusieurs reprises comme caserne ou du moins comme refuge exceptionnel.

Elle servit ensuite d'abris aux constructeurs du canal de Nantes à Brest, puis tomba pour de longues années à l'abandon.

Restaurations

L'abbaye n'était plus qu'à l'état de ruines quand en 1986, l'association des Compagnons de l'abbaye de Bon-Repos a entrepris un long travail qui a porté ses fruits avec la rénovation totale de l'angle sud-est de l'abbaye qui est désormais ouverte au public. Ces travaux sont financés localement dans un premier temps par des dons, et par la suite, par le Fonds européen de développement économique et régional (FEDER) à hauteur de 75%, l’État français, le Conseil Régional, le Conseil Général et les collectivités territoriales.

Aujourd'hui
Chaque été, depuis 1987, elle est le théâtre d'un spectacle de son et lumière. Une fresque historique qui, deux heures durant, occupe une scène de deux hectares avec, en toile de fond, la façade de l'Abbaye. Pour ses trente ans, le spectacle a fait peau neuve en 2017.

"Alors vous, en habit du passé. Vous, hommes et femmes de maintenant. Et vous, gens de bonne volonté. Debout. Debout pierres qui ce soir ont compté. Comme le Phénix renaissant de ses cendres, voici Bon-Repos !" (extrait du spectacle).

Gestion
Aujourd'hui, l'abbaye est une propriété du conseil départemental, l'abbaye étant toujours gérée par l'association des compagnons.
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Abbaye_Notre-Dame_de_Bon-Repos_à_Saint-Gelven_-_Côtes_d'Armor_(22)_-_France_-_04.jpg (15.28 Kio) Vu 11384 fois
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Thil Manneville a gardé depuis longtemps son nom de Thil, par contre elle s'est appellée d'abord Thil en Caux au XIIIe puis Thil sur Vienne puis le Thil Manneville au XVIIe. Il a perdu récemment son "Le".

L\'Église Saint-Sulplice vers 1911L'Église Saint-Sulplice, construite au XIIIe siècle et entièrement réédifiée au XVIe siècle en grès, surplombe la vallée de la Vienne et offre un beau panorama. Le clocher est situé à la croisée du transept. En façade Ouest, belle rosace au-dessus de la porte d’entrée de style gothique flamboyant. Dans le cimetière, croix en grès de 1623. Près de l’église se trouve l’imposant presbytère qui reçut la duchesse de Berry en 1824.
L'église est construite selon un plan en croix latine. Son chevet est à pans coupés. Un clocher à flèche polygonale en ardoise s'élève à la croisée du transept. Le pignon de la façade antérieure est percé d'une grande rose à remplages de pierre. La porte est coiffée d'un arc en accolade encadré de deux pinacles. L'église est éclairée par des baies en arcs brisés à remplages de pierre et épaulé de contreforts. L'appareil alterne brique et tuf.
L'église primitive remonte au XIe siècle. Certains éléments de la nef et du choeur subsistent de cette époque. Une partie du clocher est du XIIIe siècle. La façade et une partie de l'église sont remaniées au XVIe siècle.
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Auray (56)

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Aujourd'hui

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Auray s'installe au Moyen-Âge au fond d'une ria, sur un promontoire où l'édification d'un château favorise la protection de son territoire.
Auray au fil des siècles
Deux quartiers de chaque côté du château

L'un au pied de la forteresse, rassemblé autour du port et d'une chapelle dédiée au Saint Sauveur. L'autre derrière le château, concentré autour de la cohue et du prieuré Saint-Gildas.

Au nord de la ville, se déroule en 1364 la bataille d'Auray qui met fin à la guerre de succession de Bretagne qui opposait Jean de Montfort à Charles de Blois pour l'accession au duché.

SAINT-GOUSTAN

Le port d'Auray porte le nom de Saint-Goustan, patron des marins et des pêcheurs. Profitant largement de ses atouts, celui-ci s'épanouit dès le XVème siècle pour connaître une période faste au XVIIème siècle. De cet âge d'or, il reste un certain nombre de maisons à colombages. Toutefois, au siècle suivant commence l'inéluctable déclin du port.
La création de celui de Lorient vers 1665 et le déploiement de nouveaux réseaux routiers depuis Vannes et Hennebont constituent de sévères concurrents. L'arrivée du chemin de fer en 1862 puis la déviation de la route nationale en 1865 sonnent ses dernières heures.

L'activité économique se déplace alors de l'autre côté de la ville, autour de la gare. Source de travail, celle-ci donne naissance à un nouveau quartier dont le dynamisme ne décroît qu'à la fin des années soixante.
Aujourd’hui, Auray est constituée de quatre grands quartiers : Saint-Goustan, le coeur historique, la Gare et Kerléano. Chacun a une histoire qui lui est propre et une identité bien vivante que les habitants ont coeur à entretenir.
Des hommes ont fait l’histoire d’Auray

Benjamin Franklin

Diplomate, inventeur, scientifique, il débarque à Auray le 3 décembre 1776 en vue de rejoindre Versailles pour négocier un traité d’alliance avec Louis XVI. L’aide de la France permettra aux Américains de parvenir à l’Indépendance des Etats-Unis.

Georges Cadoudal

Il naît au hameau de Kerléano le 1er janvier 1771 dans une famille de paysans aisés. Après avoir rallié dans un premier temps les idées révolutionnaires, il bascule dans le camp de la chouannerie. Il prend la tête de l’Armée Royale et Catholique de Bretagne. Après une tentative de complot contre Napoléon, il est arrêté et guillotiné à Paris en 1804.

Jean Royère

Issu d’une famille aisée, Jean Royère débute sa carrière de décorateur à l’âge de 29 ans, sans formation particulière. Il obtient sa première commande en 1933 : le bar du Carlton sur les Champs - Elysées. Au sortir de la seconde guerre, il crée son entreprise et ouvre des agences dans de nombreux pays : Liban, Egypte, Syrie…devenant ainsi le décorateur des souverains du Moyen-Orient dont le Shah d’Iran.

Il ne faut pas oublier :

Les ducs de Bretagne, fondateurs de la ville
Les marchands et armateurs, garants de la dynamique économique
Les cheminots qui ont contribué à l’ouverture de la ville sur l’extérieur
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Eribalin
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On dit comment ? Le Port d'Auray ou le port de Saint Goustan ?
Ou le port de saint Goustan à Auray ?
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On dit les deux mon Capitaine

Saint-Goustan, une invitation à la flânerie

Mieux vaut éviter les talons hauts pour parcourir Saint-Goustan. Pour commencer, les rampes du Loch, bâties sur les ruines d’un château-fort, descendent vers le port. Des terrasses ombragées de la promenade, la vue plonge sur les quais. La rive la plus pittoresque se rejoint en franchissant le pont à quatre arches de pierre du 13e siècle. La place Saint-Sauveur aux pavés bombés s’encadre de maisons cossues, à pans de bois et encorbellements. Les ruelles pentues, entrecoupées de marches, partent à l’assaut du quartier, bordées de façades à colombages. Les demeures des 15e et 16e siècles affichent une respectable allure, qui s’encanaille le soir venu dans le bruissement des terrasses de cafés.

Deux villes en une

Cité d’art et d’histoire, Auray-Saint-Goustan s’enorgueillit de deux quartiers anciens. La ville haute centrée autour de l’église Saint-Gildas et la ville basse sur les bords du Loch. Le port, avec sa position stratégique, s’enrichit au Moyen-Age grâce aux droits de passage perçus sur les bateaux. Aux 16e et 17e siècles, le trafic du vin et des céréales en font le troisième port breton. Les souvenirs résonnent encore sur les dalles de granit, rappelant que l’Américain Benjamin Franklin a accosté ici en 1776 pour rencontrer Louis XVI.
Dans les pas des pèlerins

A proximité, la ville sanctuaire Sainte-Anne d’Auray est le premier site de pèlerinage catholique en Bretagne. Si la basilique néogothique est le point d’orgue de la visite, promenez-vous dans le cloître, arrêtez-vous à la fontaine miraculeuse, au mémorial, près de la statue monumentale ou à l’espace Jean-Paul II. Des visites commentées permettent de mieux découvrir ce patrimoine remarquable. En famille exercez-vous au grand jeu « A la recherche des Clés du Temps » dont la pochette est disponible à l’office du tourisme.
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:hello:

Sur la carte ancienne d'Auray
29dm2n.jpg
29dm2n.jpg (36.46 Kio) Vu 11340 fois
Une caravane Georges et Jacques modèle "Fantaisie", tractée par une SIMCA 1300/1500.

JP :happy1:
BZH : Bienvenue en Zone Humide Image
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Bonjour à tous !
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:hello:

Essai (avec l'hébergeur du fofo) !!
Four pain Auvergne.JPG
Four pain Auvergne.JPG (59.48 Kio) Vu 11275 fois
Avec un hébergeur extérieur ça ne fonctionne pas actuellement......

JP :happy1:
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Pour voir si ça fonctionne :hello: Et ça fonctionne :super:
Basilique d'Auray
Basilique d'Auray
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Mais c'est long pour passer dans les tuyaux
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A la r'voyure
djef
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Philou 33
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Re: Cartes postales

Message non lu par Philou 33 »

Bonjour à tous !
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Pont du Gard
C PONT DU GARD JG.jpg
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Pas de la Case
303kp8.jpg
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:Philou

P.S. : je ne peux pas mettre la tasse de café :pleur4:
Ensuite c' est long car j' ai 3 autres sites qui ne prendront pas vos images
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